Partage du travail en Suisse : à deux c’est mieux ?

Photo : ©Raphaad @Wipplay

Le saviez-vous ?
En 2023, la Suisse a connu le plus fort taux d’augmentation (1,6%) de sa population depuis le début des années 1960.

Pour continuer sur les anecdotes chiffrées, le rythme de travail des employés suisses évolue également.
En 2023, ils sont 36,7% à travailler à temps partiel.
Comme le chocolat, le travail se partage (ou pas).
Cela va sans dire, mais rappelons que le stage n’est pas un contrat de travail. Contrairement au salarié le stagiaire n’a pas d’obligation de production.
La finalité principale du stage est pédagogique et sa durée limitée.
Cette tendance s’inscrit dans la démocratisation du job-sharing.

En quoi ça consiste ? Partager les missions propres à son poste avec un autre salarié.
Une forme de binôme de travail qui permet d’aménager son temps pour laisser plus de place à la vie personnelle ou aux activités extra-professionnelles.
Cette pratique se transpose également au niveau des postes à responsabilités, on parle alors de top-sharing.
Même l’État de Fribourg en a intégré les principes dans une directive sur le partage de poste.
Pas adaptée à tous, cette méthode suppression de virgule nécessite une analyse précise des missions du poste visé mais aussi – voire surtout – une compatibilité des profils dans l’exécution partagée du travail.

A ne pas confondre avec le travail à temps partagé made in France.
Le job-sharing reste encore relativement peu répandu dans l’hexagone…

Un peu trop gourmand pour envisager le partage ? ærige vous partage son savoir !

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