La RSE, ça vous dit quelque chose ? La responsabilité sociale et économique se conçoit en trois volets : social (réduction des discriminations), sociétal (relations entre fournisseurs et clients) et environnemental (protection de l’environnement, lutte contre le changement climatique, gestion des ressources).
Depuis le 1er janvier 2024, la directive européenne CSRD (corporate sustainability reporting directive) approfondit cette responsabilité. Elle encadre le reporting des données extra-financières au sein du rapport de durabilité et élargit significativement le panel des concernées. En effet, si seules les PME cotées sont directement visées par le texte, toutes les entreprises le sont de fait, en tant qu’actrices des chaînes de valeur.
Et pas le droit au greenwashing ! La loi oblige depuis 2023 les entreprises à prouver leurs engagements.
Un travail considérable qui demande la mobilisation d’outils de reporting et l’articulation des bons interlocuteurs… Mais qui n’est pas non plus à négliger quand on sait que 75% des salariés choisissent leur entreprise en fonction de la qualité de sa RSE.






